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L'HISTOIRE des briottières
Depuis sept générations...

Dans la même famille depuis sept générations, transformée en hôtel quatre étoiles il y a 40 ans, le Château des Briottières a su séduire parmi les esprits les plus brillants :

Madame de Staël l’a aimée. George Sand et Chopin y ont séjourné. Plusieurs décennies plus tard, le couple mythique sera d'ailleurs incarné au cinéma par Hugh Grant et Judy David dans le film "L'impromptu", tourné aux Briottières.

Aujourd’hui encore, artistes, voyageurs et amoureux de la beauté y trouvent inspiration et sérénité.

Un héritage vivant depuis le XVe siècle
Nées au cœur de l’Anjou à la fin du Moyen Âge, Les Briottières ont traversé les siècles entre nobles alliances et bâtisseurs passionnés. La chapelle Saint-Bonaventure, édifiée en 1528, témoigne encore de cette histoire ancienne.

Acquis au XIXe siècle par Alfred de Mieulle, aïeul de l'actuel propriétaire, le Château devient une élégante demeure estivale entourée d’un parc à l’anglaise de 50 hectares. Depuis, chaque génération y a cultivé un art de vivre singulier mêlant élégance et tradition.

Une maison de famille ouverte sur le monde
Aujourd’hui, Arnaud et Madeleine de Valbray poursuivent cette aventure familiale avec passion, à la suite de François et Hedwige de Valbray, qui fîrent renaître la maison à partir de 1979 en lançant le concept de château-hôtel. Héritiers de l’esprit des lieux, ils réenchantent le Château des Briottières et y accueillent les voyageurs du monde entier comme à la maison. 

Idéal pour un week-end ou des petites vacances, pour les citadins en quête de grand air et de campagne, pour les amoureux, les familles et les accros de la déco. Le Château des Briottières est un hôtel confidentiel qui offre un cadre propice à la reconnexion. Promenades dans le parc arboré à l'anglaise de 50 hectares, sieste au bord de la piscine, dîner aux chandelles… Ici, le luxe se mesure en silence, en espace et en beauté.

L'entrée dans la famille

Tout à commencé pour les Briottières à l’aube du XVème siècle alors que ce fief appartenait à la famille de Mergot. Avant 1485, il passe à Jean de La Saussaie par son mariage avec Jeanne de Mergot. Il est acquis en 1519 par René de Baïf, mari de Catherine de Champchevrier, laquelle y fit édifier, en 1528 , la chapelle de Saint–Bonaventure.

Cette chapelle est dédiée à Saint Louis. La terre comprenait alors cinq métairies et deux closeries et s’accrut d’importance, notamment du fief de la Chapelle. Les seigneurs se succèdent : René de Baïf jusqu’en 1546, Maurice Chevallerie en 1560 et enfin, en 1574, Guillaume Lesrat, Lieutenant – général du Sénéchal d’Anjou, dont la famille conservera l’ensemble jusqu’à la révolution. René de Lesrat y meurt le 6 Février 1701, âgé de quatre-vingts ans, puis, plus tard son fils, Clément –François de Lesrat, le 21 Novembre 1740. Sa fille avait épousé, le 29 décembre 1722, Alexis de Rougé, Seigneur des Rues. Le 29 novembre 1786, le curé bénit la chapelle reconstruite.

Le château venait alors d’être reconstruit en trois pavillons avec plate-forme centrale, qui ont été remaniés depuis. Il appartenait encore, en 1855, à la Famille d’Armaillé qui y conservait une superbe galerie de tableaux parmi lesquels un portrait du Roi René d’Anjou, daté de 1460. La vie y était paisible et tout un petit monde y régnait.

Le XVIIIème

Le château allait être acquis au milieu du XIXème siècle par Alfred de Mieulle né en 1804, qui épousa Marie–Louise Hochet et mourut en 1900. Il était l’arrière-grand-père de Madame Jacques de Valbray, née Monique de Mieulle, mère de François de Valbray père d'Arnaud de Valbray, propriétaire actuel. De nombreuses dépendances entourent le château niché au milieu de beaux ombrages percés d’étroites clairières. Ce parc à l’anglaise de 50 hectares fût dessiné par le paysagiste Châtelain et repris par les Frères Bulher.

C’est Jean de Mieulle, grand père de François de Valbray, qui reprit les Briottières en 1921 : Il y avait alors trois jardiniers, un garde chasse, un cocher, des cuisiniers, trois femmes de chambre et un lampiste, auxquels s’ajoutaient des gens de ferme et des bûcherons.

En 1967 Jean de Mieulle légua la propriété à son épouse Geneviève de MIEULLE née Paulze d’Ivoy de La Poype qui , elle-même légua les Briottières en Mai 1969 à sa fille Monique de VALBRAY née MIEULLE. Les Briottières sont dans la même famille depuis 7 générations.